Dimanche 4 mai 2008 à 19:22

Quand il n'est plus possible de reculer, quand tu ne peux plus fuir comme tu l'as toujours fait tu te rend compte que tu as fait beaucoup de connerie et que maintenant tu ais obliger de les réparer et surtout que tu n'as aucune excuse même pas celle que tu invoques le soir dans ton lit pour te calmer avant de dormir tout ça s'évade devant la dure réalité ... des pleurs

Dimanche 4 mai 2008 à 18:54

Même sale il garde ce sourire, même avec les cheveux en bataille et sa veste verte toute passé il me nargue de son sourire. A chaque fois que je le ressort c'est comme si il me disait "Et oui je suis encore là" et c'est vrai il est toujours là mais ce n'est pas sa présence physique qui me dérange c'est tout ce qu'il symbolise qui me tue à chaque fois et ce n'est qu'un début... Parfois la nuit il m'arrive même de lui parler et lorsque que tout s'emballe j'ai l'impression qu'il me réponds que sa bouche articule des mots et dans mon délire j'ai l'impression d'entendre dans ma chambre sa voix me disant que lui aussi elle lui manquait.

Dimanche 4 mai 2008 à 7:08

Ce n'est que le contact physique qui me manque, juste sentir la chaleur d'un autre corps contre le miens, sentir la douceur d'une peau sous mes doigts, la chaleur de lèvres contre les miennes, on fond c'est seulement ça qui me manque. C'est horrible? Oui je m'en rend compte mais c'est la triste vérité...

Vendredi 2 mai 2008 à 21:51

Ne surtout pas oublier qu'on peut mourir demain.
Loin de m'effrayer cette révélation me fait sourire, me fait regarder le monde différemment. J'embrasse littéralement tout ce qui m'entoure, je respire à plein poumon, j'essaye de garder le plus longtemps possible le gout de cette tarte au thon et surtout je repars avec cette idée qu'au fond la vie n'est qu'un jeu.

Jeudi 1er mai 2008 à 8:52

Pourquoi je n'y crois plus ?

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