Les oiseaux étaient perchés dans les arbres nus mais pourtant ils chantaient de tous leurs poumons. Et moi je passais au milieu d’eux me remplissant de leur chant et de l’odeur de la forêt. Appréciant chaque instant où les rayons du soleil venaient caresser mon visage. Bien sur après il y a eu le bruit de la ville, ce bruit ronronnant dans des moteurs et des klaxons mais il y avait toujours sur cette arbre ce petit oiseau chantant de sa plus belle voix ajoutant une touche de gaité à ce paysage quotidient.
Jeudi 19 février 2009 à 16:25
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